Depuis quelques jours, une petite racaille de ouistitis puants se réclamant de Kamto s’est déversée sur son Honorable OSIH, à coup d’injures et des dénigrements divers. Que cette racaille ne croit pas un seul instant que nous n’avons pas encore réagi par peur ! C’est simplement parce que nous avons reçu une bonne éducation qui nous pousse à regarder de haut des agressions déboires.
Mais attention ! L’insolence et la provocation ont des limites ! Et ceux qui franchissent ces limites le font à leurs risques et périls.
Voici les faits :
Son Honorable OSIH, Député de la Nation siégeant à l’Assemblée Nationale du Cameroun, a décrit en termes particulièrement expressifs, illustrations à l’appui, les stratégies de Monsieur KAMTO fondées sur l’opportunisme, l’imposture et l’hypocrisie.
Un discours sobre, mais succinct qui a donné une image particulièrement précise de cet ancien Ministre de BIYA, radicalement incapable de prendre la moindre position, se bornant à renvoyer tout à la décision du « peuple » quand il sera à Etoudi.
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La forme de l’Etat qui est le fondement de tous les programmes ? C’est le peuple qui va décider ! La Monnaie ? C’est toujours le peuple ! Les politiques économiques ? C’est le peuple !
Comment peut-on prétendre gagner une élection en renvoyant son programme à l’opinion des gens au lieu de prendre une position définitive qui détermine le comportement de l’électeur ? C’est quand il sera à la Présidence qu’il va confectionner son programme ? Une Présidence n’est pas un lieu de reflexion, mais d’action ! On n’y va pas pour demander ce que pense le peuple, mais ce qu’on a promis de faire et pour lequel on a été choisi !
Mais au lieu de prendre acte que le seul programme de leur mascotte tribale se réduit à surfer sur les échecs de Biya, sa racaille de ouistitis puants a embouché sa vieille stratégie d’exclusion et de discrimination, traitant OSIH de Suisse et adressant des prières à la lune pour qu’on l’exclue.
Qu’ils ne se fassent aucune illusion là-dessus : OSIH sera dans la compétition pour combattre le régime néocolonial.
Mais pas seulement ! Car, nous sommes dans une compétition très rude dans laquelle le premier gagne et les autres perdent.
Nous entendons être le premier et quand un quidam maintient sa candidature contre nous, au mépris du bon sens et de la raison, il se présente clairement comme un perturbateur qui disperse nos voix, car ses voix ne s’ajouteront pas aux nôtres.
Il est donc notre adversaire et il n’y a aucune raison de lui faire le moindre cadeau.
KAMTO et sa meute participe clairement de cette logique de dispersion de nos voix et de perpétuation du régime néocolonial. Comme d’habitude, ils ont adopté leur vile stratégie de trois strates spécialisées :
-une première strate, composée d’une vermine agressive et grossière, chargée de basses manœuvres dont le but est de salir Son Honorable Joshuah OSIH, Député de la Nation ;
-une deuxième strate, qui vient jouer les médiateurs et pêcher le calme ;
-une troisième strate, formée de dignitaires, qui tient un discours policé, laissant les sales besognes à la première strate qu’elle condamne du bout des lèvres, tout en les mobilisant sournoisement.
Vieille stratégie que nous connaissons bien et que nous nous chargerons de démanteler.
Car les choses doivent être désormais claires : le MRC et son KAMTO nous gênent et doivent libérer le champ du combat, pour laisser en place deux vrais compétiteurs du Cameroun :
1. D’un côté, BIYA BI MVONDO Paul Barthelemy, 85 ans, ancien Etudiant de l’Institut des Hautes Etudes d’Outremer, avec le Diplôme d’Administrateurs des Colonies avant 1960, qui ne voit dans la population camerounaise qu’un troupeau d’indigènes qui doit se mettre sans regimber au service d’un service d’un Etat néocolonial, Garde-chiourme zélé des intérêts occidentaux
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2. De l’autre Joshua OSIH, 49 ans, cadre des Entreprises, entrepreneur, politicien chevronné, parfait bilingue, fédéraliste convaincu, nationaliste reconnu et favorable à la création d’un Système d’Echange Local, Député de la Nation, représentant du premier parti d’opposition et objet du soutien de la seule Société Civile qui compte au Cameroun.
Voilà comment le champ politique se présente au Cameroun et comment il doit se présenter. Ceux qui ne sont pas pour OSIH sont pour BIYA et ceux qui ne sont pas pour BIYA doivent être pour OSIH.