L’année des escroqueries électorales a commencé au Cameroun sur fond de corruption.
À 85 ans dont 35 passés au pouvoir, l’expert en corruption et son clan Bulu a commencé à utiliser l’argent de nos impôts pour acheter les consciences à travers les nominations. Comment procède le monstre BIYA BI MVONDO Paul ?
1. La soixantaine de ministres et assimilés sont nommés par ce chef d’État gangster et doivent aller dans leurs villages et régions fabriquer des résultats favorables à leur créateur/bienfaiteur sinon ils perdront leurs postes. Chantage imparable ?
2. Tous les hommes les plus riches, majoritairement issus de l’Ouest qui est écarté des grands postes de pouvoir, doivent financer les caisses du parti R.D.P.C au pouvoir. S’ils ne produisent pas de bon résultats pour le vieux chef de la mafia Bulu, les services d’impôts dirigés par le même gang vont leur infliger des hausses d’impôts appelées redressements. Ces services sont dirigés ou téléguidés par des égoïstes nommés qui doivent bourrer les urnes en trompant les populations avec des bouts de pain et de la bière.
3. Le moment venu tous les chefs de bureau, chefs de services, directeurs recevront des frais de mission et descendront dans leurs villages pour faire gagner le parti politique du ministre qui les a nommés sinon le poste est perdu !
4. Les journalistes des médias publics et privés recevront de grosses enveloppes d’argent de nos impôts pour aller dans les villages parler des grandes réalisations du dictateur qui prétend avoir sauvé le Cameroun du terrorisme de Boko Haram et des anglophones séparatistes.
5. Les membres d’ELECAM et du conseil constitutionnel, nommés par le tyran corrupteur et arrosés de millions de francs de nos impôts vont améliorer les scores électoraux de Paul BIYA et le proclamer vainqueur
Que faire ? Aller voter inutilement ? Sensibilisons d’abord nos amis et membres de famille pour éviter la catastrophe qui frappera nos enfants et parents si le dictateur jouisseur, tribaliste et corrupteur est réélu pour sept ans. Ne laissons pas notre cher pays très riche être noyé par la mafia Bulu. Les réseaux sociaux, le contact personnel et le patriotisme sont nos armes. Que les farceurs candidats à ces soi-disant élections cherchent des stratégies pour ne pas nous apporter le désastre une fois de plus.
Battons-nous avant d’attendre que Dieu mette fin à notre naufrage collectif.