• Le rendez-vous est annoncé pour ce samedi soir
• Remy Ngono fera des révélations
• Plusieurs sujets à l’ordre du jour
La descente aux enfers de Ngoh Ngoh est déclenchée. C’est ce qu’a annoncé le journaliste camerounais Remy Ngono ce samedi 12 février 2022 en donnant rendez-vous à ses abonnés ce samedi soir sur ses pages sociaux.
« Le pape des dossiers noirs du samedi soir vous donne rendez-vous pour son évangile ce samedi 12 février 2022. Sur ma page Facebook Remy Ngono et ma chaîne YouTube J.Remy Ngono chaîne officielle de l'engagement à 18h à Paris et Yaoundé, 17 h à Abidjan, 12h à New-York », a écrit le journaliste.
Outre ce sujet, il évoquera d’autres point notamment : ‘Paul Biya fête ses 89 ans : les secrets sur son vrai nom, son âge et ses pactes sataniques’ ; ‘détournement des primes des Lions Indomptables allouées aux victimes du stade Paul Biya’ ; ‘le Congrès américain prend des résolutions contre le gouvernement camerounais’ ; ‘la fin du pain : le spectre des émeutes de la faim’ ; ‘le colonel Bamkoui cerveau d'un réseau de trafic de visas’ ; ‘la dépouille de Nkodo Si Tony humiliée par le ministre Bidoung Mini-Pam- Pam Chaud Gars’.
Stade d’Olembé : une rocambolesque affaire de 26 milliards FCFA rattrape Ferdinand Ngoh Ngoh
Dernier virage pour les négociations relatives au stade Olembé. Jeune Afrique dévoile comment le président de Piccini, Makonnen Asmaron, s’était discrètement rendu à Yaoundé en décembre dernier pour relancer le débat.
« Le groupe italien de construction, qui accuse l’État camerounais de lui avoir retiré illégalement le chantier du stade d’Olembé, relance les discussions pour tenter de trouver une solution à l’amiable. Tout en se préparant à une éventuelle procédure d’arbitrage à Paris », écrit le média.
« Au cours du mois de décembre 2021, le président de Piccini, Makonnen Asmaron, s’est discrètement rendu à Yaoundé. L’homme d’affaires italo-érythréen souhaitait poursuivre les discussions avec l’État camerounais pour trouver une solution à l’amiable au conflit qui oppose depuis plus de deux années son groupe au ministère des Sports et à la présidence », précise-t-on.
En effet, Piccini accuse les autorités camerounaises de lui avoir retiré illégalement, en novembre 2019, sur instruction du secrétaire général de la présidence, Ferdinand Ngoh Ngoh, le contrat de construction du stade d’Olembé, à Yaoundé, et d’avoir embauché pour la remplacer l’entreprise canadienne Magil. Le groupe espère donc obtenir réparation.
« Il estime aussi avoir préfinancé de sa poche 26 milliards de francs CFA (près de 40 millions d’euros) – notamment pour la construction de préfabriqués en Italie et leur acheminement vers la capitale camerounaise sans avoir été remboursé », révèle Jeune Afrique.