Climat post-électoral: une leçon politique à Maurice Kamto

Que dans toutes les démocraties même celles qui sont le plus souvent prises pour exemple, les membres de la plus haute cour de justice sont nommés par le Président de la république

- que pour exemple le 9e juge de la cour suprême des USA Brett KAVANAUGH a été nommé par Donald TRUMP puis confirmé par le SENAT car les républicains ayant la majorité. Que Brett KAVANAUGH a travaillé POUR le Président G. BUSH dans son secrétaire général lors de son mandat avant d'être remercié par celui-ci en été nommé comme juge à la Cour d'appel des États-Unis

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- que la véritable bataille étaient plus aux législatives et sénatoriales qu'à la présidentielle dans le but par exemple d'obtenir les majorités bicamérales pour limiter le mandat des membres du conseil constitutionnel comme c'est le cas en France par exemple

- que la plus haute cour de justice d'un État vu que ses membres sont nommés par le Président de la République ne peut avoir le visage que de celui (ceux) ci; le cas échéant le Conseil constitutionnel de la République du Cameroun ayant pris fonction sous Paul Biya ne pouvait que lui ressembler.

- que finalement de ce qui précède et de bien d'autres arguments, lors de cette première journée d'audience du contentieux post-électoral le Pr Maurice KAMTO n'a rien prouvé du moins aux observateurs froids et avertis de la scène politique nationale et internationale.

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- que nous observateurs froids et avertis attendons beaucoup plus de sa part car nous en venons déjà à penser au vu de ce qui précède que lui-même ne peut ignorer, qu'il ne soit lui également en train de jouer sa partition dans la scène théâtrale de notre pays